A toi mon maître,
Autour de ta maison,
Je marquerai mon territoire,
Souvent je m'en éloignerai,
Mias toujours ver toi,
Je revienderai,
Même si tu compares ma fourrure,
A cette d'une peluche,
Ne m considére pas comme un ouet,
Laisse-moi la liberté,
Mais son ton toi réserve-moi,
Un coin douillet,
J'y reviendrai avec joie,
Je te donnerai mon affection,
Que tu deviendera,
Par mon doux ronron,
N'oublie pas,
Que j'ai besoin de carresse,
Donne-moi ton amour,
Je serai pas te velours.
Autour de ta maison,
Je marquerai mon territoire,
Souvent je m'en éloignerai,
Mias toujours ver toi,
Je revienderai,
Même si tu compares ma fourrure,
A cette d'une peluche,
Ne m considére pas comme un ouet,
Laisse-moi la liberté,
Mais son ton toi réserve-moi,
Un coin douillet,
J'y reviendrai avec joie,
Je te donnerai mon affection,
Que tu deviendera,
Par mon doux ronron,
N'oublie pas,
Que j'ai besoin de carresse,
Donne-moi ton amour,
Je serai pas te velours.